Une attaque pour le moins déconcertante...

Krieger Alein a écrit:: Alors que le soleil se couche sur la colline surplombant la demeure de l'équinoxe, une ombre se dessine sur celle-ci, sombre celle d'un charr éclaireur. Avançant doucement vers le bord de la falaise, l'ètre aux yeux de feu jette un regard satisfait sur la demeure comme l'avait fait plusieures années auparavant de multitudes de charrs lors de la fournaise...

Derriere l'éclaireur apparait alors Bonnetti, le traitre, contemplant la demeure, leva la main, et l'abaissa doucement.

Un multitude d'ombre bougèrent alors dans la plaine, tout autour de la demeure, le son des cors Charrs se fait entendre un au Sud un au Nord...

Flavius Ortael a écrit:: *Quelques secondes apres que résonne le son des cors Flavius sortie de sont bureau. Il avait sont lourd marteau à la main et portait sont armure de bataille.En quelques foullées il rejoignit le haut des remparts d'ou il examina la situation.

Les Charrs attaquaient sur deux flanc,mais L'Equinoxe gardaient l'avantage du terrain.Les deux entrée etaient fortifié et les remparts offraient une position en hauteur pour les archers.

Le général scruttait les troupes adverses lorsqu'il remarqua la présence de celui qui semblait etre leurs leader.Sont poing se serra alors qu'il reconnaissait Bonneti.*

-Archers,au remparts! Restez à couvert des crénaux et laissez les avancer jusqu'a 200 metres.

Que le gros de nos Chevaliers se plaçent à la porte nord,face au gros de leurs force.Le reste à la porte Sud.

Ils attendrons surement d'etre completement en place avant de lancer l'assaut.N'engagez pas le combat inutilement,laissez les approcher.

Prince Galahad a écrit:: Galahad attendait...posté à la porte nord,son épée a la main...

Il priait Balthazard...Attendant le signal du Général pour fonçer dans le tat...

Par ma lame ! Ses gros chats puants ne passerons pas !

Risen Dincht a écrit:: Risen qui dormait paisiblement fut réveillé en sursaut par un bruit de cors et des vas et viens dans les couloirs. Il se leva peiniblement et entre-ouvrit la porte pour voir ce qui se passait. Tous les gardes et quelques chevaliers étaient en train de courir, leurs amres aux poings. Risen en arreta un :

"Ohla, que ce passe-t-il donc ?? Pourquoi tout ce raffut en pleine nuit ???

- Les Charrs Sir Dincht !!! Il sont devant nos portes !!!!"

Après ces courtes paroles, le garde repartit de plus belle en direction de l'armurerie.

Risen retourna dans sa chambre et enfila sa tenue à toute vitesse puis ressorti illico pour préter main forte aux autres chevaliers

"Chevaliers ! Rassemblez vous pret de la porte principale !!!" Avait crié le général peut de temps après que Risen ne soit dehors, il s'empressa donc de rejoindre ses frères d'armes devant l'entrée principale du domaine...

L'élémentaliste jeta un regard vers le Seigneur Ortael posté plus haut sur les remparts et au fond de lui, il se dit qu'il ne le décevrait pas.

Krieger Alein a écrit:: Les charrs porte-flammes sont visibles au loin, pas loin d'une bonne quinzaines de régiments de charrs, Bonnetti ne fait pas les choses a moitié décidément... De loin on penserai a une nouvelle constellation, une constellation dure et violente promettant un combat sans merci.

Curieuse coincidence la recrue "Krass tout" manque au bataillon.
Les hurlements de charrs se font plus intenses, un bruit de combat se fait entendre au loin, quelqu'un essayant de percer les rangs Charr

[edit=] Je rappelle que ce post concerne la premiere partie de mon event c'est une mise en situation [hrp = off ]

Dread Hult a écrit:: Le grand invocateur descendait en courant de la tour du temple de Balhazar après avoir entendu les cors sonner. Il se renseignat vite sur la situation et se placa parmis les chevaliers face à la porte nord.
Après être rentré en affinité avec l'élément de feu il dit d'une voix calme et pousé.

" Par Balthazar. Ils vont voir qu'ils ne sont pas les seuls adorateurs du Feu "

Une flamme naissait dans le creux de sa main. Dread Hult était près.

Les frères Daidoji a écrit:: Le regard dirigé vers les énormes portes de la forterresse de l'Equinoxe, Son "Dai tsuchi", fidèle marteau rokugani, garde au poignet et masse au sol, campé sur ses deux vigoureuses jambes et couvert de son armure canthienne traditionnelle, Le gunso Korozu restait silentieux.

Le groupe de garde qu'il avait directement sous ses ordres l'imitaient dans le calme qu'il arborrait. Mais ce n'était pas pour rien qu'on surnommait Korozu "Yama", la montagne... Il attendrait de sentir le souffle de ses adversaires sur son visage pour attaquer s'il le fallait.

Ses yeux cerné par l'experience, il vira ce regard sur le Rikogunshokan, Le Général, attendant de celui-ci l'Ordre qu'il enverrait à l'infanterie, dont Korozu n'était que l'un des nombreux effectifs.

Il souriait interieurement. Son choix s'était porté sur le Dai tsuchi, comme le Seigneur Ortael. Une arme efficace contre ce genre de créature au cuir trop épais pour les fines lames dont étaient pourvue la garnison, et il ne tenait pas vraiment à utiliser son katana, son "âme", contre ces vils charrs, suppo du mal Tyrien.

Puis il parcouru l'armée de l'Equinoxe en train de se former petit à petit. Cherchant le visage famillier du Taisa, Dame Djesabel, Du chui, Davien-sama, ou encore celui du seigneur Sparfel. Si ces Samouraïs se trouvaient dans la bataille, Korozu irait sans questions aucunes, d'ailleurs, il le ferait quoiqu'il arrive, mais il est toujours bon de savoir qu'un combat est gagné d'avance.

Enfin, il recibla le Général.

Il parla alors à ses vingts hommes, le plus calmement possible :

Je vois mon père, je vois ma mère...
Je vois mon frère du Nord...
Je vois mon oncle arriver au loin...
Tous sont là et m'appellent,
M'appellent aux portes de la mort.
j'accomplirais mon devoir, quitte à les rejoindres,
Mais jamais, oh grand jamais,
Je ne fuierais devant l'ennemi,
Pour que tous soient fier, fier de m'accueillir
M'accueillir aux portes du Jigoku, de l'Enfer,
Mon devoir accomplit dans l'honneur !!!
L'honneur et la Gloire de l'Equinoxe !!!

Il hurla les derniers mots en levant son arme au ciel d'un seul bras, ces hommes s'en retrouvèrent galvanisé au plus haut point, et au coeur de l'armée naissante, les quarante-deux poumons hurlèrent leur Gloire et leur honneur, et pendant un instant, on entendit plus les beuglement des charrs.

spirituel insulaire a écrit:: Sur les consignes du général le moine se précipita vers le point stratégique nord, et se plaça en retrait pour ne pas prendre de dégâts trop importants, mais assez près pour couvrir un maximum de personnes suceptibles d'être blessées.

Une fois en place devant l'effervescence générale, spirituel lança une dernière prière à dwaynna.

Milina Gaelyn a écrit:: *Alerté par l'agitation extrême qui regnait dans le domaine, Milina sortit en trombe de sa cellule et se rendit auprès du Général*

Général, que se pass.....

*Sans avoir fini sa phrase, la jeune moniale tourna la tête et vit alors l'étendue du danger. Des hordes de Chaars s'avancaient vers le domaine.*

Ni une, ni deux, Milina rejoint au plus vite ses compagnons à la Porte Nord pour repousser cette attaque des plus intriguantes.

esprit d'ikai a écrit:: Alerté par un jeune moine, le père Ikai alla rejoindre le général Ortael et les autres officiers et les salua. Puis son regard se porta au-delà des remparts, vers la horde charrs et il eut comme bien d'autres, une sensation de déjà-vu.

#Par Dwayna, mais que peut faire une armée de charrs aussi loin à l'ouest?#

Le moine se mit un peu en retrait des troupes, sortit une icone de Dwayna et se mit en méditation...

Krieger Alein a écrit:: Tout le long de la cote des bateaux sont visibles, portant sur leur vigie le feu sacré Charr

Les bruits de combats, se font de plus en plus proches clairement audibles...

Les Charrs se placèrent alors et montèrent leur camps

Dans la nuit une faible voix se fit entendre pres de la porte nord

"S'il vous plait.. au secours.. ils vont me tuer s'ils me trouvent..."

Beltzer Kagrash a écrit:: Beltzer se tenait adossé au rempart, assis sur les escaliers juste a la droite de la porte Nord, quelques hommes qui avaient été ses élèves lors de ses rares leçons à la chevalerie assis avec lui. Il riait et discutait avec eux, les détendant et les maintenant d'humeur joyeuse en attendant le fracas des armes, les rales des mourrants et les cris des blessés. Il était pres de la mi nuit lorsqu'il entendu un chuchotement rauque venir de derriere la porte.

L'albinos se releva et monta les escaliers, sa hache toujours au fourreau, il s'approcha du général et des officiers, les saluant d'un hochement de tête avant de dire :

- Général ... Il y a un homme dehors, il nous supplie de le laisser rentrer, doit-on ouvrir la porte ?

Prince Galahad a écrit:: Galahad,posté a la porte nord,avait aussi entendu les gémissement de l'inconnu...

Moins confiant que Beltzer il tira son épée de son fourreau et se mit a coter de la porte...

Il héla un soldat et lui dit :

Hé vous ! Tirer votre épée et tenez vous prêt a...enfin vous voyez ce que je veux dire....

Shunn Andersen a écrit:: *Shunn entonnait une douce valse en murmures alors qu'il s'appliquait à déposer soigneusement de la teinture rouge sur une broderie. Son travail minutieux fut interrompu par un vacarme sourd qui le fit s'approcher de la fenêtre de son atelier.
Il ouvrit les lourds rideaux pour découvrir une pièce tragique qu'il avait déja connu ... le vacarme sourd d'une armée d'ombres noires devant un couchant rouge sang.
Comme en toutes circonstances Shunn se devait d'être calme, la seule expression de sa panique fut de constater par un soupire et un sourire l'effusion non désirée de cette teinture écarlate sur tout le tissu que Shunn était en train de traiter.

Après un court instant, sans se bousculer Shunn descendit pour rejoindre le groupe de l'Equinoxe.*

"Cette fois je suppose que je devrais me battre aussi."

*Pendant un court instant il se rassura dans l'hypothèse folle qu'un mur retomberait sur lui pour le cacher des charrs et qu'un noble chevalier, le même si possible, reviendrais lui sauver la vie. Mais la naïvité si séduisante soit elle avait ses limites, même pour Shunn.*

Dread Hult a écrit:: Dread Hult était maintenant un peu à l'écart des autres chevaliers. Les yeux fermaient il adressait une prière au Dieu Balthazar pour qu'il les guide pendant le combat. Combat qui semblait de plus en plus inévitable maintenant.

Les reflets rougeartre du jour tombant semblait être aspirés par sa tunique dernièrement teintait à l'aide de rouge fourni par Shunn en personne.

Il interompait sa prière lorsque Beltzer annonça au général et aux officiers ce qu'il avait entendu par dela les portes. Puis il s'approchait de la porte.

Nim Sparfel a écrit:: La fureur, les cris, l'air oppressant d'un siège...ces choses que nous ne connaissons que trop bien et que nous préfererions ignorer. Pas de peur, pas de doute, l'Equinoxe se levera, l'Equinoxe se battra.
Nim avait rejoint les autres officiers lorsque l'alerte fut donnée. Il entendit la consigne du Général, le gros des troupes à la porte nord et le reste au sud.

Il était désormais dans ses appartements, enfilant son armure. Il entendait les cris, les ordres qui fusaient. Partout on se mettait en position, il enfile son casque. Prières, incantations et exortations se faisaient entendre, il ramasse Reflet qui était posée contre le mur ainsi que son noir bouclier, aussi noir que ces ombres rempantes. Il ouvre la porte et serein sort dans la folie et l'excitation de la guerre.
Tous les Chevaliers présents au domaine était là, principalement rassemblés à la porte nord. Cette constation fit dire à Nim qu'on aurait surement besoin de lui à la porte sud.

Là quelques gardes étaient rassemblés...bien peu et bien trop peu si l'attaque devait s'intensifier de ce coté. Pour ce qu'il en voyait aucun Chevalier n'était venu de ce coté. C'est sans doute la raison pour laquelle un des gardes l'acceuillit avec une si grande joie.

-Salutations Seigneur Sparfel, mon Lieutenant. Cela fait rudement plaisir de vous voir parmis nous, nous désesperions de nous voir en si petit nombre.
-Que ce jour vous soit bon messieurs. Gardez espoir d'autres vont venir et moi je reste avec vous. Et qui sait peut-être même que nos assaillants ne tenteront rien de se côté...j'espère bien que si!

Il rit, d'un rire sans joie mais sans panique qui pourtant s'éteignit bientôt. L'heure était grave et il avait parlé pour détendre le hommes mais il voyait ce point trop faible défensivement et esperait que les charrs n'en auront pas la même vision.
Il donna encore quelques ordres et voici la troupe rassemblée à la porte sud préparée et positionée du mieux possible avec de tels effectifs pour un éventuel affrontement en ces lieux.

Il n'y avait plus qu'à attendre...des renforts ou les ennemis mais attendre.

Flavius Ortael a écrit:: *Le Général était en haut des remparts, il discutait calmement et échangeait quelques plaisanteries avec les gardes venus le voir.
Il avait l'air calme et serein, pas inquiet pour le moins du monde.
Intérieurement, bien sur qu'il était inquiet, qui ne le serait pas?
La nuit commençait à tomber lorsque lui aussi perçu le léger murmure, la demande d'aide semblant provenir de devant les remparts.*

-Que les archers se tournent vers la cours intérieur, les hommes à pieds forment un goulot d'étranglement derrière la porte. De cette façons si il s'agis d'une ruse il se jèterons droit sur nos infanterie et leurs ligne arrière sera sous le feu de nos archers.

*Lé général pivota ensuite, le regard en direction du port du domaine ou se trouvait le navire de l'Equinoxe,L'Impériale.*

-Tout l'Equipage disponible à L'Imperiale, armez un canons sur deux avec des clous ou autre bout de métal.Vous profiterez de la brume pour pénétrer la ligne adverse.

-Mais...mon Général,il ni a pas de brume...

*Le soldat finissait à peine sa phrase lorsqu'une incantation s'éleva. Shania avait les yeux fermé, flottant à quelques centimètres du sol,les bras tendu. Quelques minutes après,la brume s'éleva,semblant sortir du sol et des murs du domaine,coupant toute visibilité à l'ennemie.*

-Maintenant,il y en a.

Krieger Alein a écrit:: La plaine se remplissant de brume, s'en vient a devenir orangée rouge a cause des feux charrs a l'horizon, l'armada de bateaux Charrs patrouillaient autour de l'ile...

L'homme toqua encore a la porte, en suppliant de le laisser entrer

"Krieger... Je le connait.. ouvrez moi... "

Krieger lui pionçait encore, dormant comme un loir se retournant dans son lit a chaque fois qu'une personne passait devant sa chambre

Beltzer Kagrash a écrit:: L'albinos se tint droit en entendant discuter le général, puis le saluant d'un hochement de tête, commença a descendre les escaliers en déclarant :

- Je vais de se pas à la porte Sud, nous sommes assez nombreux au nord, mes hommes et moi allons nous poster a la porte sud et soutiendrons les gardes. Gloire et honneur Général ! Et que le meilleur gagne !

Puis il partit d'un grand éclat de rire, le sourire jusqu'au oreilles, lui était content de cette bataille, se battre était sa vie, survivre à des ennemis superieurs en nombres etait un défie plus qu'acceptable pour son honneur, et encore une fois il vaincrait, il en était sûr, non ... il le savait, il en etait plus que certain. Il arriva à bas des escaliers et prit l'un de ses hommes par la taille le relevant, et cria :

- Allez les enfants ! Finit de pioncer ! On laisse les autres s'occuper d'ici, nous on a du boulot au sud ! Alors dépèchez vous ! Si y'en a un seul qui n'est pas près dans les deux minutes qui viennent, son arrière train fera connaissance avec mon pied !

Les quelques quarantes hommes se trouvant autour de lui se mirent a courrir en tous sens, rassemblant leurs armes, boucliers, flêches, capes, casques et autres parties de leurs équipements, en moins de deux minutes, ils étaient tous prêts. Beltzer sourit à la vue de ces hommes, tous tournant un regard fièvreux vers le sud, un léger sourire aux lèvres, tous le connaissaient, et ils savaient qu'il ne reculerait jamais.

#J'espère qu'ils sont à l'abri...#

Une lueur d'inquiètude passa furtivement dans ses yeux, et disparu aussitôt, comme ci elle ne s'y était jamais trouvée. Ce n'était pas le moment de douter, la gloire l'attendait, le carnage l'appelait et la mort lui souriait... à nouveau ? Ainsi il prit le chemin de la porte sud et sourit encore plus en apercevant le lieutenant Sparfel, accompagné de quelques gardes. Il vint se placer aux côtés du chevalier et répartit ses hommes aléatoirement parmis les gardes, essayant de leur redonner courage et d'au moins, maintenir leur cohésion si jamais les assaillants venaient par ce côté.

Krieger Alein a écrit:: Le Général Flavius ouvrant la porte au rodeur blessé, celui ci signalant que Bonnetti aurait découvert une partie du secret de la fournaise, a aussi donné un morceau de papier sur lequel es écris :

Ancien lieu divin, seul salut a votre égard, zone dévastée mais empreinte de l'esprit de dwayna

Apres cela il tomba, inconscient...

Azura a écrit:: Azura arriva rapidement avec d'autres moines pour ce poster avec l'arrière garde pour organiser les soins.
<<Aller,ramené tout le matérielle disponible du monastère nous risquons d' essuyer un siège nos chevaliers auront besoin de soin et de vivre>>
Azura sorti un bâton peu commun,elle le sortait peu c'était un bâton de châtiment.
<<Je pars prés du général pour combattre.>> Elle monta l' escaliers pour rejoindre les autres combattants

Nim Sparfel a écrit:: Un cri de joie se fit soudain entendre à la porte sud. La garde venait d'apercevoir la troupe menée par le Chevalier Kagrash, certains de ses hommes portant des flambeaux en ce début de nuit et ces lumières vacillantes venaient par par ici, venaient au sud.

Sous son casque qu'il otat juste après Nim sourit comme rarement. Il fut plus qu'heureux de voir ces renforts providentiels de plus menés par Beltzer. Il acceuillit celui ci avec autant de joie qu'y mettaient les gardes.

-Salutations mon ami! C'est la providence qui vous envoie pour nous renforcer car ma foi nous sommes maintenant presque assez pour tenir cette porte mais cela ne rendra notre bataille que plus belle. A moins que ce ne soit la folie qui vous ait montré le lieu le plus dangereux et le plus dégarni de notre défense et vous ait poussé à venir y mourir.
Quoi qu'il en soit sachez que c'est un honneur de me battre et, si il le faut, de mourir à vos côtés. Que cette nuit soit sanglante et puissions nous revoir la lumière de l'aube refletée sur mille cadavres ennemis.
Pour l'Equinoxe nous tiendrons le sud, Gloire et Honneur!

Autant le Lieutenant paraissait serein extérieurement autant l'agitation qui le parcourait était intense. Ils manquaient toujours d'hommes mais cela ne ferait que renforcer ceux qui sont présents et leur faire donner le meilleur d'eux-mêmes. Il savait que Beltzer ne faillirait pas, c'était un Chevalier de grande valeur. Il savait qu'à nouveau ils ne pourraient être plus alertes et plus prets qu'en ce moment...De nouveau l'attende...

Beltzer Kagrash a écrit:: Beltzer sourit de toutes ses dents au Chevalier et posa sa main sur son épaule, puis lui déclara :

- Lieutenant ce n'est pas la folie qui m'a conduit ici, mais l'envie de revoir de près cette vieille garce qu'est la mort. De plus il faut apprendre à ces jeunes coqs ce que les vieux comme moi savent faire.

Il fit deux, trois pas de long en large, essayant de choisir quelle arme prendre pour ce combat. Allait-il se servir de son Brise-glace ? Il lui permettrait de tenir la porte seul si il le voulait, mais cela amoindrissait ses possibilitées de manoeuvres. Allait-il prendre Feth ? Sa hache, qui lui permettait d'enchaîner des attaques puissantes. Ou bien choisirait-il Neth ? son épée, qui était rapide et ne laissait pas le temps à l'ennemi de répondre. Il opta finalement pour les deux, Feth dans sa main droite, et Neth dans sa main gauche, puis il s'assit en tailleur devant la porte, son épée à large lame plantée dans le sol, sa hache sur les genoux, et il attendit, écoutant ses hommes bavardant avec les gardes, leur remontant le moral, se racontant des plaisanteries auquelles il répondait. L'attente devenait de plus en plus opressante et surtout insoutenable...

Eowyn Ortael a écrit:: sortant des appartements du général, Eowyn approcha de la porte sud, son arc entre les mains suivie de ses gardes. Jetant un coup d'oeil rapide, elle donna ses ordres

Restez avec les gardes de la porte et tenez jusqu'au bout

puis elle se dirigea elle même vers les remparts et regarda les charrs à l'extérieur, préparant chacune de ses flèches en invoquant le nom d'un de ses hommes tués lors de la fournaise à chaque

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