Yareck
Assis a une table grise, une arme a la mains
Il entend le souffle accéléré du destin
Et étouffe de sa présence à ces cotés
Mais il connaît le moyen de s’ en libérer
Hier, par le destin , son frère lui fut ravie
En son sein c’ est loger, tiré par l’ ennemis
un mortel cadeau, des plus empoisonné
sous l’ ombre des coteau son frère c’ est couché
Contre les hommes il luttent désespérément
Mais que peut la raison face à la folie
Yareck désormais sait qu’ il n’ a plus le temps
Que les hommes s’ entre-tuent pour quelque pays
gueule de métal, bruit sourd dans la tranché
Tête sur la table contemplant la liberté