[BG] Nanashi Chaos

Durant mon enfance, je fut élevé par ma mère. Mon père quand à lui étais un Rodeur solitaire qui se fesait appeler pour d'obscures raison Wolfthunder Chaos, c'est pour cela que l'on ne le voyait jamais à la maison.

Ses visites étaient trop courtes à mes yeux et ses absences trop longues. Néanmoins, à chacune de ses visites, il me raportait des trophés de ses exploits, il me racontait ses aventures et il m'apprenait la profesion de rodeur.

Lors de sa dernière visite il me dit qu'il s'en allait vers les Cimefroides du sud. Il me parla aussi d'une prophétie qu'il devait accomplir, mais je ne comprenais pas très bien j'étais encore jeune a cette époque. Une semaine après son arrivée il repartit donc pour les Cimefroides. Mais juste avant il me dit qu'il reviendrait pour mon aniversaire qu'il ne manquerait pour rien au monde, j'étais content qu'il me dise cela.

Les semaines passairent, puis les mois, et malheureusement les années. c'était la première fois qu'il s'absentait aussi longtemps et en plus il n'avait pas tenue sa promesse, il ne revint pas pour mon anniversaire. Dix ans passèrent ma mère et moi avions perdu espoir, lorsque nous reçûment une missive...


Ma mère ne s'en remit jamais et mourut dans le mois. J'était désormais seul face à ce monde cruel, je parvint à survivre grâce a l'entrainement de Rodeur de mon père.

Un an plus tard, alors que je faisait une halte dans une taverne de l'Arche du Lion, j'entendi un discussion entre deux marins. Isl parlaient d'un groupe d'aventuriers qui avait réalisé une prophétie. Dans ce groupe il y avait un moine nommé Mhenlo et un cetain rodeur du nom de Fëanor Valandril.

Ce nom... je l'avais déjà entendu quelque part. En effet, c'était le nom du rodeur que mon père avait rencontré dans les Cimefroides du nord. Je décidais donc de demander à ce marin plus d'informationd sur ce Fëanor, il me dit que c'était un vieil aventurier célèbre malgrès lui et qu'il allait avec Mhenlo en Cantha.

Tout était clair pour moi, je devais partir retrouver ce Fëanor pour lui demander ce qu'il savait au sujet de mon père, le jour de mes dix-neuf ans je prit le bateau pour Cantha.

Le voyage dura une semaine. C’était assez agréable, à vrai dire je n’avait jamais prit le bateau aussi longtemps. A bord j’ai rencontré un aventurier assez miteux pour ainsi dire, il portait des habits tout déchirés et rapiécés.

Celui-ci me sembla familier et je décidait donc de le suivre pour en savoir plus, au début c’était assez simple, mais au bout de quelques jours il sembla avoir perçu ma présence et il réussi à me semer durant deux jours j’en déduisis que c’était un Rôdeur très expérimenté.

La veille de la fin du voyage je le retrouva…enfin c’est plutôt lui qui m'a retrouvé.
Il me demanda pourquoi je le suivai, et je lui répondi qu’il me rappelait quelqu’un et que je voulait en avoir le cœur net, alors il fit demi tour et me dit : « Il m’est impossible de vous avoir rencontré car j’ai toujours vécu seul a dieu » puis il s’en alla.

A mon arrivée je me rendis au monastère de shing jea. Là bas, je fit la connaissance de maître Togo, et avec son aide, j’accompli quelques nobles quêtes avant d’embarquer sur le continent pour une mission de la plus haute importance : combattre Shiro, un esprit malveillant ressurgit du passé.

Sur le chemin de cette quête épique, je rencontra un nécromancien du nom d’Azazel. Nous nous combatîmes dans l’immensité de la mer de jade.
Ce combat dura deux jours et deux nuits il n’y eut aucun gagnant car nous nous effondrâmes de fatigue. Depuis, nous faisons équipe avec un but different mais une même une même passion: la vie

Lors d'une bataille au fort de trembleforet, je fit une rencontre inattendue : le vieux rodeur rencontré sur le bateau qui faisait route vers cette Terre.

Malheureusement, il était dans le camp adverse, celui des kurzicks, nous nous livrames donc à un combat sans mercie, chacun utilisant ses meilleures techniques sur l'autre. C'est après plusieurs minutes qu'il se décida enfin à me parler:

-Qui est-ce qui t'as enseigné cette façon de te déplacer ?!
-C'est mon père ! Pourquoi cette question ?
-Il a fait du bon travail ! Mais tu as encore des progrès à faire !

Sur ces mots il décocha une flèche qui, d'après sa trajectoire, ne fonçait pas sur moi, mais a coté. Elle se planta un mètre sur ma droite, dans le sol.
Il répétat cette action une dizaine de fois sans me toucher et esquivant chacun des mes tirs.
-Et c'est à moi que tu dit ça ?! Tu esquives bien mais en attaque cela laisse a désirer !

Il ne dit mot et tira une volée de flèches dans ma direction, je commença à en esquiver une puis une deuxième, lorsque soudain mon pied heurta quelque chose et je manqua de trebucher sur le sol.

Là, pétrifié, j'aperçu la chose, c'était une flèche plantée dans le sol, l'une de celle qui m'avait envoyées quelques minutes plus tôt ! Scrutant autour de moi, je vit toutes les autres tout autour de moi.
Il a piégé le sol en faisant semblant de me manquer !

Soudain une douleur effroyable dans le pied me ramena à la réalité, une triste réalité, j'étais debout, une flèche dans la jambe droite.
Oh non! ma jambe d'appui.

Trois autres flèches filant droit sur moi, une se figea dans mon bras gauche. Prit de douleur je lacha mon arc, les deux autres se plantèrent dans le sol.

La douleur s'instala dans mon corps et je tomba au sol. Une des flèches qui était plantées par terre se brisa et pénétra dans mon corps inerte, avant que je sombre dans les ténèbres éternelles.

Soudaint, un miracle se produisit. Je senti qu'un souffle de vie pénétra en moi, et lorsque je rouvri les yeux, il était, là devant moi, comme il y a des dizaines d'années, ce n'était plus un vieux rodeur mais mon père...

Lorsque je le vit, je cru tout d'abord à une hallucination, puis je compris que c'était bien le cas, c'était bien ce vieux rodeur qui m'avait sauvé la vie.

-Comment puis-je vous remercier pour ce que vous avez fait ?

-Oh, ce n'est rien ! Et puis tu es encore trop jeune pour mourir.

-Vous êtes sur que vous ne voulez rien ? bon dans ce cas...

-Eh bien en fait tu pourrais m'en dire plus sur ton père.

-Pourquoi, le connaissez-vous?

-La technique de déplacement qu'il t'as enseignée, c'est moi qui l'ai créée et...

-Non c'est impossible ! C'est mon père qui l'a créée il y a plus de dix ans... ou alors mon père c'est.... non cela est impossible.

-Comment ? Tu penses que je suis ton père? Mais... pour...comment serait-ce possible ? Tu devrais le connaître ton père ! A moins qu'il lui soit arriver quelque chose ? Tu peux me le raconter, je t'écoute.

Je lui raconta donc ce qu'il était advenu de mon père.
-Donc ton père a disparu dans les cimefroides il y a un peu plus de dix ans... il se peut donc que je sois ton père.

A son tour il me raconta son histoire, de son réveil amnésique dans les cimefroides jusqu'à son départ vers cantha.

Donc après tant d'années à chercher et esperer, c'est ici, au beau milieu de Cantha, que je retrouva mon père.

Nous nous racontions ce que chacun à vécu durant toutes ces années que nous avions perdu.

Il fut triste de savoir que ma mère est morte à cause de la nouvelle de sa mort. La mission finie, c'était nous, les luxons, qui avions gagner. Après cela, moi et on père sommes restés ensembles.

Quelques jours plus tard nous commentions une nouvelle mission dans laquelle les deux ennemies ancestraux qu'étaient les kurzicks et les luxons se battaient non pas l'un contre l'autre, mais côte a côte face a la menace de Shiro au temple des moissons.

Nous avions presque fini notre tache lorsque soudaint j'entendit mon père crier a l'aide.

Je me retourna et vit un guerrier affligé qui se préparait à lui donner le coup de grace. Je décocha alors un tir focalisé sur sa tête, la flèche la transperça de part en part, mais c'était trop tard... le coup de marteau se termina sur la poitrine de mon père.

Lorsque je le rejoignit il me dit una phrase que je n'oublirais jamais :

"est-ce qu'un homme meurt lorsque son dernier souffle est arrivé? non... est-ce qu'un homme meurt lorsque son corpd se transforme en poussiere? non... un homme ne meurt que lorsque il est oublié"

-Ne l'oublie jamais et ne m'oublie jamais !